Je... ne suis pas sûre d'assumer ce texte, écrit par grande fatigue et en état de manque (je suis un tout petit peu accro au chocolat), le tout limite déjà en retard pour rendre la participation au jeu...
Le thème? Oh, si simple... une créature imaginaire et uniquement des verbes en -er... dire que c'est moi qui ai insisté pour qu'on garde la deuxième règle...
Je ne voulais pas de votes (sérieusement, c'est super mal développé, j'aurais dû au moins expliquer le lien entre Cthulhu et les rêves...), je n'en ai pas eu. Merci.
*
Le vaisseau approchait enfin l’océan de l’inter-espace. Je n’arrivais pas à déterminer si j’en étais soulagé ou non. L’équipage était énervé depuis la dernière pluie de météorites, le temps semblait passer beaucoup trop lentement et certains membres donnaient l’impression qu’avant peu ils s’entretueraient, ne supportant plus la vie en communauté.
Mais je n’oubliais pas non plus que nous allions au-devant d'une situation encore pire que cette ambiance inconfortable. Le grand Cthulhu n’était pas porté à l’amabilité et la gentillesse lorsque quelqu'un osait entrer dans sa propriété. Combien plus une délégation le priant de retourner sur Terre, dans sa demeure sous-marine.
La folie guidait sans doute nos pas, à l'arrivée se trouvait sans doute la mort, mais nous continuions, bravement. Pas le choix.
Mais, prévoyants, nous avions malgré tout emmené à bord des quantités de chocolat suffisantes que pour l’amener à au moins nous écouter.
L’océan interespacial, immense, dégageait une profonde sensation de sérénité. Étrange lorsque l’on songeait à ce qui la peuplait.
Enfin nous arrivâmes devant le grand Cthulhu et lui exposâmes notre requête. Enfin… tenter plutôt qu’exposer réellement. Il ne nous en laissa pas le temps. Lorsqu’il remarqua l’offrande de chocolat, il l’avala en une bouchée, s’installa dans le vaisseau et exigea qu’on le ramène sur terre, car il avait oublié à quel point la nourriture y abondait, et à quel point il raffolait du cacao.
Le long voyage de retour commença, et avant longtemps, tous furent soulagés de constater qu’ils pouvaient à nouveau rêver. Cela décontracta même tant l’atmosphère à bord que le voyage retour nous sembla trop court.
28 mars 2011
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1 commentaire:
En effet, c’est pas ton meilleur texte. En particulier « mais, prévoyants… nous écouter » roule un peu sur la jante. Mais le poster, c’est l’assumer, et ça, c’est bien.
Je veux qu’on m’explique comment on peut habiter la Belgique et être en manque de chocolat…
Tiens, pour te consoler :
https://lh5.googleusercontent.com/_ECZYuA1uJAQ/TZZXWIDqXQI/AAAAAAAAAvU/Yn811XdIv9Q/Chocolats_de_Leonidas_pour_les_Chrysopales_en_manque.jpg
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